La journée mondiale de la gentillesse
Soyez gentils – pour vivre longtemps et en santé !
Aujourd’hui, le 3 novembre, gardez votre sourire aux lèvres et dispensez de la gentillesse dans toutes les directions. La journée internationale de la gentillesse origine de Singapour, d’un organisme qui a pour mission la promulgation de cette qualité pas si rare (ça dépend du pays où on vit), mais qui peut encore grandir.
Être gentil par égoïsme
Si vous ne débordez pas d’amour ni même de sympathie pour vos semblables, soyez gentils par pure égoïsme, pour soi et son propre bien-être. Les études l’ont maintes fois démontré : arborer un sourire aux lèvres nous maintient en santé. Ce sourire, il peut être plaqué artificiellement au début, mais très vite il apparaîtra spontanément. Ça prend un peu d’entraînement, mais le jeu en vaut la chandelle.
La gentillesse, ces petits gestes quotidiens, témoignent en fait d’une attitude générale envers les autres. Une attitude d’ouverture, d’acceptation, de compassion, du non-jugement. Un peu forcée d’abord, elle devient naturelle avec le temps. Les bienfaits sont réciproques et durables et contribuent à créer une société humaniste, inclusive. L’enfer, c’est les autres – disait Sartre. Et qu’en est-il du paradis ?
La journée mondiale végane
Plus tôt, le 1er novembre, le véganisme était la fête à souligner ! Le concept du véganisme n’est pas si nouveau, même s’il n’a pris son ampleur que récemment. Déjà, en 1944, Donald Watson a fondé la Société végane pour promouvoir un mode de vie basé sur le respect des animaux et leur traitement éthique.
Aujourd’hui, ce mouvement est en plein essor, bien structuré et organisé, avec ses lobbyistes et ses moyens de pression. Et tant mieux, serait-on tenté de dire ! Comment ne pas souscrire à cette philosophie de respect de la vie, de toute la vie sur la Terre, pas seulement celle des humains.
Quand la conscience s’en mêle
La grande innovation de ce mouvement a été d’introduire la dimension éthique dans l’alimentation. Jusqu’alors, nos choix alimentaires ont été basés sur les considérations économiques, sanitaires, environnementales, mais rarement ou presque jamais morales.
Avec le véganisme, toute une dimension philosophique a fait son entrée dans nos cuisines et dans nos assiettes. Ce phénomène est si nouveau qu’on peut parler, par extension, d’un militantisme nouveau. Un militantisme nourri par nos convictions intimes et qui se reflète dans nos choix quotidiens. Et la portée de ces choix est colossale. Un adage célèbre dit : change-toi, et le monde changera. Un autre adage invite à incarner soi-même les changements qu’on voudrait imposer aux autres. Le véganisme remplit par excellence ces postulats.
- Ces journées vous sont offertes par Marek Zielinski
Les recherches sont de Luz Garcia de Zielinski