Par Pierre Lussier
Lors de leur souper mensuel du 29 mars dernier, les membres du Club Richelieu de Verdun, un des plus anciens clubs (1949) du Mouvement Richelieu au pays, ont eu un échange portant sur l’adhésion de nouveaux membres plus jeunes afin de renouveler l’équipe et amener des idées nouvelles.
Tous les clubs de services, le Richelieu, les Optimistes et les Lions connaissent des problèmes de recrutement et la moyenne d’âge de leurs membres ne cesse d’augmenter. Il y a peu d’adultes de moins de 35 ans qui s’engagent. Les habitudes de vie ont changé, les gens sont concentrés sur leur travail et leur vie familiale et n’ont pas le temps ou le goût de s’engager dans une telle organisation.
Au Club Richelieu de Verdun, présidé par Paul Beneteau, un des piliers du Club Michel Lanoix, membre depuis 2002, a accepté de s’engager dans un Comité Jeunesse national de quatre représentants du Mouvement pour étudier la situation et tenter une approche adaptée aux réalités d’aujourd’hui.
Michel Lanoix a fait son rapport lors de ce souper qui réunissait 25 convives.
« Le Mouvement Richelieu a créé quelques Comités, dont celui de la Jeunesse, où je suis impliqué avec trois autres membres Richelieu : soit Stéphane Bégué, directeur général du Richelieu International à Ottawa, Sue Duguay, de Moncton, et Julien Saguez, de Saint-Jean-sur-Richelieu. »
« Notre mission, a ajouté Michel, était de procéder à une révision complète de notre stratégie auprès des jeunes, afin d’en favoriser le recrutement et leur maintien. »
« Nous avons eu quatre rencontres virtuelles », a précisé Michel Lanoix. Les idées émises lors de ces échanges ont été compilées sous la forme d’un document que le Comité a transmis à la direction du Richelieu International. De ces efforts de réflexion naîtront les résolutions qui, nous l’espérons, permettront de recruter de nouveaux membres jeunes et moins jeunes au Mouvement Richelieu.
Chapeautant l’ensemble des clubs affiliés, le Richelieu International, sous la Présidence de Monique Banville, a pour mission de promouvoir la francophonie à l’échelle internationale, nationale et locale, et d’être au service de la jeunesse en contribuant à l’épanouissement des individus et des collectivités.
