On m’avait sérieusement averti. Certains demandaient plus de clarté dans cette page, moi qui cherchais une nouvelle manière d’entamer ces textes difficiles. Or, je me tourne vers les périphrases…
· Justement, la frigide marmotte a sans doute vu – de nuit – son ombre… mais elle ne se fie plus aux prévisions météorologiques depuis que Pascal Y. a pris sa retraite…
· L’homme qui marchait en cette soirée d’hiver, emmitouflé dans sa Canadienne (j’adore !), pensais-je en citant le billettiste Marceau – et non le mime Marcel – grelottant, comme ce vendredi 3. « Votre écriture est complexe pour les pressés et nerveux, me révélait une de ces amies ! » Plus cartésien, je réformerai mes écrits.
· Vite, je vous enserre tout doucement de considérer les premiers mots de cette bande dessinée qui paraît en page XX : « attirer les lecteurs des adultes d’ici vers les dessins des élèves de l’arrondissement ». Sage dame !
· Même allusion nous est offerte pour scander le nom de la personnalité du mois de mars du RAV (lire ces lettres avec un accent bilingue), la Diya locale du 7e art ! : « là où c’est la rencontre, le partage, les échanges avec les gens devant un écran et autour du popcorn ».
· Cette revue de la Revue ne peut clore sa Dominique, avec égard, sans saluer le 30e anniversaire de J’apprends avec mon enfant, la mission de la littératie et du programme-phare de soutien à la lecture…
Yves d’Avignon
