Notre collègue Jacques Mainville, qui ces jours-ci, pourrait porter le nom
de bourlingueur, avait de bonnes intentions de voyage en nous proposant un
nouveau séjour en sol thaïlandais, loin de la capitale. Mal lui en pris, »la
qualité des photos n’est pas excellente ; je les ai prises avec mon cellulaire.
Je ne me ferai plus jamais prendre à visiter les membres de ma famille sans ma
caméra ».
Aujourd’hui, entre ‘‘plusieurs rendez-vous dans le but de concrétiser
l’adoption de ma nièce, j’errais dans les grandes banlieues aux alentours de
Bangkok et, plus tard, je m’y suis mis à la pêche à la manière d’Issan’’, dans cette
province du nord du pays.
‘‘Comme vous le savez déjà, je suis en Thaïlande pour adopter la
nièce de mon épouse Prapatsorn, qui est une fière Verdunoise depuis 17
ans, elle est couturière chez « Marigold » sur la rue
Wellington.’’
‘‘J’avais entendu, comme tout le monde, que l’adoption internationale était
assez ardue ; je vous le’ confirme ! Avec le Covid qui n’aide pas la situation.
À titre d’exemple, on nous a dit que si l’enfant n’était pas de la famille, son
adoption serait moins compliquée… parce qu’il y a peut-être anguille sous
roche si on procédait à l’adoption d’un membre de la famille.’’
‘‘Bref, nous sommes embarqués dans toute une galère, « les 12 travaux
d’Astérix ». En attendant le prochain rendez-vous ou le rendez-vous pour
prendre un prochain rendez-vous on passe du temps avec Pichaya.’’
‘‘Aujourd’hui, c’est une visite chez la sœur ainée de Prapatsorn. La famille
habite la campagne profonde. Au menu salade d’œufs de fourmis, insectes
(nom inconnu), sautés avec piments et ail et du poulet cuit dans la paille !’’