Un texte de Pierre Lussier
La douzième édition de Cabane et Panache sur la Promenade Wellington a attiré des foules considérables tout au long des quatre jours de festivités. Des gens sont venus d’un peu partout de la région métropolitaine pour célébrer la fin de l’hiver et l’arrivée du printemps. C’est au son de la musique traditionnelle et des rythmes entraînant qui rappelaient Carl Tremblay et ses Cowboys fringants, que l’eau d’érable et son précieux réduit ont coulé à flot dans les assiettes des visiteurs.
La Promenade, sous la direction de Patrick Mainville, a travaillé en collaboration avec Benelux Brasserie artisanale, Coureur des Bois et Fizz sans compter les nombreux commanditaires, notamment Desjardins et Explore Verdun IDS. L’aide de l’arrondissement dans l’installation sur le site est indispensable.
Pour mieux connaître Cabane et Panache
Nous avons posé quelques questions à Julie Pilon-Cousineau, directrice des opérations de la Promenade Wellington qui chapeaute l’événement Cabane et Panache.
Explore – Combien de gens travaillaient pour la Promenade, afin de préparer le site destiné aux festivités ?
Julie Pilon-Cousineau – L’équipe de la SDC Wellington incluant des stagiaires est de neuf personnes. Pour le déroulement de l’événement, une vingtaine de personnes s’ajoutent à l’équipe de la permanence.
E – Combien y a-t-il de bénévoles dans votre organisation ?
J P-C – Nous avons environ 110 bénévoles répartis sur les quatre journées. Leur rôle et présence sont essentiels pour le bon déroulement de l’événement : l’escouade environnementale aux stations de tri, les assistant.e.s à la programmation, le soutien aux restaurateurs, les bénévoles à tout faire, et bien plus encore. Nous sommes extrêmement reconnaissants qu’ils soient toujours au rendez-vous année après année.
E – Combien de kiosques ont été loués à des sous-traitants pour l’événement ?
J P-C – Cette année, ce sont 18 restaurateurs et quatre bars verdunois qui ont animé les kiosques de la cookerie et de l’espace «bouésson».
E – Est-ce que les participants, animateurs, amuseurs et cuisiniers reviennent année après année ?
J P-C – La programmation change à toutes les années afin de permettre d’avoir des nouveautés et de promouvoir la belle diversité culturelle et culinaire du Québec.
E – Croyez-vous, qu’à l’avenir, vous devriez tenir l’événement plus tôt au mois de mars, en raison des hivers de plus en plus courts ?
J P-C – Il n’y a pas que la météo qui détermine les dates de l’événement et il n’y a rien de moins prévisible que celle-ci. Cabane Panache est aussi l’occasion de souligner l’arrivée du printemps et des beaux jours.
E – Pouvons-nous avoir une idée approximative des coûts de Cabane Panache ?
J P-C – L’événement est possible grâce à des subventions, à des partenariats et à des commanditaires.
Nous sommes dans la comptabilisation de toutes les données, nous aurons le tout au courant de la semaine prochaine. nous a promis Myranie Bray, responsable communications marketing à la SDC Promenade Wellington.
