Tout sentiment humain ne sera jamais assez exprimé sur le sujet de Billy Walsh, tellement il a marqué d’une empreinte municipale notre Verdun durant une joyeuse quinzaine d’années. Billy Walsh a oxygéné l’arrondissement par sa présence créatrice — la sienne et celle de notre univers — la Promenade Wellington et de nombreux résidents de Verdun et de L’ÎDS. Explore a subtilisé en mots un surplus d’une ancienne paroisse multiconfessionnelle pour rendre hommage à un géant, venant dans cet ordre impossible à numéroter : Alain, Marie-Andrée, Jean-François, Patrick, Véronique, autres maires de Verdun, Marie-Ève, Laurent, tant d’autres, sans doute quelques centaines de propriétaires de la Well pour qualifier cette étape de vie qu’il nous a consacrée.
J’ai eu le bonheur de faire sa rencontre qu’à quelques reprises durant ses 15 ans ; j’ai été témoin invisible pour ces faiseurs de rêves qui apparaissent un à un dans notre Revue hebdo Explore, « debout face aux éléments difficiles », nanti d’un « dévouement hors du commun », d’une « énergie positive » avant et après des ennuis médicaux. D’un producteur de spectacles, d’avoir donné vie à nos marionnettes, etc.
Quelqu’un a répété : « Il ira loin ce jeune homme. »
« En passant, a-t-il suggéré dans d’autres sphères, j’habite ton(notre) territoire. Je continuerai donc à y faire mes courses, voir mes ami.e.s et promener mon chien. Alors, on se revoit bientôt, vieux chum. Je ne serai jamais bien loin. »
De nous tous : Merci Billy.
Yves d’Avignon