Fréjus — Le pire texte à écrire est un test pour l’âme en restauration : tant pour des entrepreneures déçues que pour ce reporter si attristé. L’histoire commence en 2001 pour les ex-propriétaires du Fréjus (2001-2011), et se termine ces jours-ci pour les commerçantes qui ont géré l’estaminet jusqu’en septembre 2024. En… moins de 25 ans, en deux groupes distincts, « nous » avons ou avions été tous heureux de bien servir des clients à la table et d’être à la hauteur de cet art commercial que sont la gastronomie et le bien-manger si difficile à accomplir ! Mais il ne suffit plus d’être heureux en habit de fournisseur négociant et de faire un léger profit (c’est selon !) : il est impératif d’en sortir en santé et de ne pas vivre au rythme de l’épuisement. Pour les ex-proprios, la plus belle des suites en tout genre à la gentille Agnès, cuisinière de mérite, et aux autres propriétaires qui ont porté à bout de bras ce service si essentiel, celui de rendre des citoyens heureux et leur offrir un menu éloquent et bonne bouffe de quartier. Pensées équivalentes à Catherine Audet, de La Mistinguette. Merci !
Bloom — Apprendre à voir les fleurs ! « Corps simple. Tête brouillonne. Autant fleur qu’une motte de laine. » Belle rencontre de Marek Zielinski avec un artiste… sur les murs de la Well !
Fleurs — Qu’ont en commun Fleurs, Églises et Babillard ? La réponse en page suivante… Ce sont des chroniques d’Explore !
Yves d’Avignon