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Mercredi, 24 juillet 2024

Alexis Leclerc – Vivre sa vie au pas de danse

Un nouveau collaborateur de 14 ans joint les rangs d’Explore
« pour parler de ce qui le fascine ou le préoccupe… »

Texte Marek Zielinski
Recherche Luz Garcia de Zielinski

Une nouvelle voix s’ajoute à notre petite chorale. Une voix d’autant plus précieuse et unique qu’elle appartient à un jeune homme aux talents et intérêts multiples, Alexis Leclerc. Il tiendra une rubrique dans notre site Explore et notre revue pour parler de ce qui préoccupe, fascine et intrigue les jeunes de son âge (14 ans). Il s’est prêté au jeu de questions et réponses pour faire connaissance avec ses futurs lecteurs.

Qui est Alexis? Parle-nous brièvement de toi, de tes études, de tes hobbies?

« Je suis un jeune de 14 ans, étudiant au collège de Montréal dans un programme sport-étude en danse avec l’école Ballet Divertimento. En plus de cette passion, je m’intéresse à de nombreuses autres activités et formes d’art, notamment la musique, la peinture, le dessin, la photographie, l’écriture et de nombreux sports variés. »

« En prenant compte que des loisirs en musique, je pourrais vous écrire un roman pour vous expliquer tous les artistes que j’admire… »

Quels sont tes artistes préférés? Tes sportifs favoris?

« Je n’ai pas particulièrement d’artistes ou de sportifs favoris mais il y a tout de même certaines personnes qui m’inspirent. »

« En musique, je pourrais vous écrire un roman pour vous expliquer tous les artistes que j’admire :

« Dave Grohl, fondateur du groupe rock Foo Fighters, est quelqu’un dont j’admire le parcours et la persévérance. D’autres sont des groupes comme Iron Maiden, Nirvana, Pink Floyd, Black Sabbath, Led Zeppelin, AC/DC et plusieurs autres. »

« En danse, certains chorégraphes, comme Édouard Lock, inspirent ma créativité. »

Comment vois-tu ta collaboration avec Explore Verdun/IDS? 

« L’écriture est pour moi un moyen de m’exprimer, de me divertir, de me changer les idées et de découvrir. Même si j’aime beaucoup écrire, ça a toujours été quelque chose de difficile à faire pour moi, parce que j’ai souvent beaucoup trop d’idées, trop d’informations qui se battent pour une place dans mon texte. Je suis excité de commencer cette collaboration puisqu’elle me permettra non seulement de découvrir la culture et les arts de mon quartier, mais aussi de me ‘‘challenger’’ » à écrire des textes plus courts et clairs, sans trop de superflus. »

« Même si j’aime beaucoup écrire, ça a toujours été quelque chose de difficile à faire pour moi… J’ai beaucoup trop d’idées, trop d’informations qui se battent pour une place dans mon texte… »

Quels sont tes projets d’avenir, après tes études?

« Il y a tellement de choses qui m’intéressent, mais malheureusement je ne suis pas un superhéros et je ne peux pas mettre le temps sur pause donc je ne peux pas tout faire. J’aimerais danser professionnellement. J’aimerais aussi être musicien, peintre, photographe, journaliste (déjà un pas dans cette direction avec Explore!), acteur, scénariste de films, architecte, cartographe (pour une raison que j’ignore), neuropsychiatre, chercheur en psychologie et comportement humain… Bref, j’ai beaucoup trop de choix, très variés, et je n’ai aucune idée dans quelle direction aller. Bon, il y a quand même quelques options que je considère plus sérieusement que d’autres, mais quand même. »

Quels sont tes endroits préférés dans notre quartier?

« Je vis à Verdun depuis ma naissance. Mon endroit préféré du quartier est le parc et le terrain de soccer sur la rue Beurling. C’est le parc qui m’a vu grandir. Plus jeune, j’y allais avec mes parents. Je me rappelle du visage de ma mère qui s’inquiétait chaque fois que je m’aventurais périlleusement dans les modules ou que je grimpais puis sautais de beaucoup trop haut pour mes os fragiles d’enfant… Et du regard fier de mon père lorsque j’ai réussi pour la première fois à traverser les ‘‘monkey bars’’. »

« Plus tard, le parc m’a servi de lieu de rassemblement avec mes amis. Ensemble, nous allions au dépanneur pour s’acheter des grands sacs de chips et de bonbons, puis on se rassemblait sur le toit d’une petite cabane au fond du parc pour les manger avant une partie exceptionnelle de soccer ou de ‘‘homme sur terre’’, notre version de Marco Polo. Maintenant, je ne fréquente plus beaucoup cet endroit, mais il renferme inévitablement plusieurs de mes meilleurs souvenirs du primaire et de ma plus jeune enfance. »

Merci Alexis et au plaisir de te lire.

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