Les Britanniques – pas Châârles – n’ont d’yeux ces jours-ci que pour le gobelin. Le dico d’Oxford le vénère, Good Lord ; le gentil Robert itou ! Allez voir sur Instagram et Exploram !
V’là donc le mot de l’An 2022, the goblin (gobelin pour les sans-royaume québécois), surfant de ce côté-ci de l’Atlantique ! L’histoire vient donc du trio gobelin-Hobbit-Sol et de tant de Jeux de rôles. Du folklore médiéval, du grand écrivain Tolkien et de Marc Favreau-ce héros.
Le gobelin serait aussi issu du sous-sol de l’empire Explore, ici représenté in muro par les bureaux d’Alain de Verdun (ces jours-ci dans les Caraïbes) et cadastré tel « un lieu recouvert de dicos, de post-it, de Thumb Tacks, etc. Sur ce mur, selon le gobelin, serait « laissé à l’abandon tous les clowns, tous recouverts de tout et de rien ; un gobelin aime se faire plaisir et n’en a pas honte, et rejette généralement les normes ou les attentes sociales hors de chez-lui ».
On aurait pu trouver mieux ! Au moment-même où je redécouvre Bim, Bouton, Biscuit, Gobelet (vous m’avez vu venir !) et l’inénarrable Sol, grand-père de Véloman, ledit héros sur roues.
Conclusion ? Dans un vase, insérez quelques Cop-15, 2 ou 3 gobelins, mes héros d’enfance de la Boite à Surprise et ce qui reste de l’Humanité !
I’ll Drink to That !
– Yves d’Avignon