La guerre, la guerre, pourquoi la guerre, s’interrogeaient au siècle dernier Albert E et Sigmund F ? Plus récemment regimbaient quelques jeunes tuques bien vêtues dans la version « la guerre, c’pas une raison pour se faire du mal » ! Qu’on se le disent : on n’en veut plus d’cette maudite guerre (faites passer le message, SVP) !
Moultes désillusions, j’entreprends une grève des mauvaises nouvelles télé/radio : 30 heures de plus à jouer dehors et à marcher mes rues.
M’en suis immédiatement remis à poursuivre la lecture du deuxième article de la série de Carole Pelletier sur le marché locatif local !
Et à réentendre les belles plages des quelques 33-Tours de Richard Huet et de sa « La Baie James ».
De songer aux bons mots de Pierre Lussier qui signale que « ce n’est pas toujours facile de se loger et de se nourrir à Verdun.
D’imiter les jeunes de la seule école secondaire francophone de Verdun et d’acquiescer à la création d’une jolie Bédé teinte de lumières verdunoises, comme le souhaite tant Lou Drouin.
Ou de subtilement tourner le dos, comme le font les barboteurs de l’ami Mario Lefebvre, et considérer au chaud ces volatiles du bleu du ciel comme des inabordables merveilles ailées, cardinaux et geais bleu, tels des « oiseaux tonnerre » et leurs objets issus du rituel des calumets de paix !
Yves d’Avignon