Il est clair que la pandémie de COVID-19 a changé radicalement l’économie du Québec et même celle du monde entier. Le nombre d’entreprises ayant subi des baisses de revenu, devant procéder à des mises à pied ou tout simplement fermer leurs portes, a connu une hausse fulgurante et est encore très élevé bien qu’un regain soit en cours ravivant la pénurie prépandémie. Le nombre de personnes ayant perdu leur emploi et devant demander l’aide financière du gouvernement fédéral, à travers la Prestation canadienne d’urgence (PCU), ainsi que le nombre sans cesse grandissant d’entreprises devant recourir à la Prestation canadienne pour la relance économique (PCRE), ont contribué à brosser un portrait peu attrayant du marché du travail.
Il est tout à fait compréhensible dans un tel contexte de constater une baisse de la motivation à vouloir chercher un emploi. La nature humaine et le contexte social, en Amérique du Nord, font en sorte que la réussite se manifeste à travers l’emploi et mène parfois à un certain statut professionnel. On peut être témoin de ceci lorsque la première question posée à une nouvelle connaissance, immédiatement après que la personne nous a révélé son nom est habituellement : « alors, que faites-vous dans la vie ? », comme si cela servait à déterminer le positionnement d’une personne. De plus, certaines occupations, selon les générations, les cultures et les époques, semblent comporter un rang social apparemment intrinsèque qui ferait foi de leur valeur comme : juge, avocat, ministre, médecin, architecte, ingénieur et bien d’autres encore.
Dans un contexte où le marché du travail semble inatteignable, certaines personnes ne se placeront pas en situation d’un possible rejet par celui-ci et cesseront tout simplement d’essayer d’intégrer ce marché. D’autres, au contraire, ont eu du temps pour réfléchir à leur situation et désirent entreprendre maintenant un nouveau tour de piste différent du précédent. C’est ce qu’on appelle la transition de carrière. Dans les deux cas, un accompagnement personnalisé permet certainement d’améliorer les chances de succès. Il est difficile pour qui que ce soit d’avoir suffisamment de recul pour évaluer objectivement sa propre candidature et tous les autres aspects rattachés à une offre d’emploi à laquelle on répond. De plus, les emplois ne sont pas toujours affichés ou connus publiquement ; beaucoup circulent à l’intérieur de canaux fermés ou ne circulent pas du tout ! La recherche peut s’avérer ardue même en contexte de pénurie de main-d’œuvre!
Heureusement, il existe des solutions à de telles situations. Cible Retour à l’Emploi, un centre-conseil en emploi desservant la population de Verdun, de L’Île-des-Sœurs et du Grand Montréal depuis 26 ans, peut vous venir en aide quel que soit votre situation, votre âge, votre statut socio-économique ou même votre langue puisque nous offrons nos services en français ou en anglais et même de façon hybride, soit en virtuel ou en présentiel.
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[1] Au Québec, la population active a dépassé le niveau d’avant la crise et elle est à un sommet historique (4 581 000). Par rapport à septembre 2020, elle a augmenté au Québec (+15 600; +0,3 %) et au Canada (+306 300; +1,5 %).